Violences policières. « Quand il y a un impact sur la tête, c’est que la tête a été visée » | L’Humanité

mars 2, 2019 0 Par Mathias Weidenberg

Il y a un problème.

Jamais un mouvement social aussi long n’a eu lieu en France sans qu’une négociation ne s’engage.

Jamais depuis la commune de 1871 tant de violence est utilisée pour réprimer, punir, tant de campagnes de presse et d’opinion sont menées pour calomnier, diffamer, diaboliser les classes populaires en mouvement.

Et l’on se félicite d’un grand débat national concurrencent rien de moins que ce que nos institutions prévoient déjà- débat aux parlement, débat devant la Nation à l’occasion d’une élection anticipée-car la constitution ne compte plus pour celui dont la première mission pourtant est de la défendre.

Président parjure, parti de l’ordre reconstitué, parti stupide, qui préfère une opposition d’extrême droite à un bloc social et démocrate, qui préfère la violence et les interdictions au débat libre et contradictoire, qui préfère les courtisans, les charlatans, les tartuffe.

Cet article de l’Humanite illustre où la cinquième République est tombée : dans la fange dorée des oppressions.

https://www.humanite.fr/violences-policieres-quand-il-y-un-impact-sur-la-tete-cest-que-la-tete-ete-visee-668739